2017 s’en est allé…

Année 2017 peu productive ici, pourtant bien remplie voire débordante ailleurs. J’ai fait le bilan : 6 articles publiés… Pas de quoi être fière, une moyenne d’un tous les deux mois : peut mieux faire. Je n’ose pas relire les articles plus anciens où je vous promettais de venir plus souvent partager mes découvertes, et pourtant il y en a eu.

J’aurai pu vous parler des Pouilles, cette région du talon de l’Italie où le ciel est si bleu et les légumes si goûteux, de Grenade redécouverte après de longues années, de Guernesey et en particulier de la visite chez Victor Hugo, de la Manche déchaînée et du vent dans les voiles, du Mont Saint Michel pour la première fois admiré (il était temps !), des plages de Normandie et des cimetières alentours, du Havre et de sa merveilleuse bibliothèque d’Oscar Niemeyer, de Bologne la « ville rouge » au centre historique médiéval et à la gastronomie à se damner découverte par une chaleur étouffante, de Palma et de ses rues sinueuses dominées par son incroyable Sé et des paysages grandioses de Majorque découverts sous le doux soleil de début novembre, du domaine de château La Coste où les œuvres parsemés dans la campagne dialoguent avec un gigantesque paysage provençal… J’aurai aussi pu vous parler du temps qui file, des journées trop courtes, des petits et grands soucis de ceux qui sont parents mais aussi de leur grand bonheur, de la satisfaction du travail accompli et des missions réussies, des rencontres de l’année et de leur richesse, des découvertes livresques, cinématographiques ou théâtrales… Bref j’aurai pu en écrire des articles ! J’ai beau me dire qu’il me faut plus de discipline, d’assiduité je ne veux rien vous promettre.

« I do not write, I build » écrivait Alvar AALTO. Cette petite phrase trouvée au détour de cette merveilleuse promenade dans le domaine du château La Coste a fait écho. Je lai trouvé à double sens, si simple et si complexe en même temps. Est-ce qu’il n’écrit pas pour construire ou est-ce qu’il associe l’acte d’écrire et celui de construire ? est-ce qu’en écrivant il construit ? Je n’ai pas la réponse et c’est surement ce qui me plait dans cette maxime.

Ne pas finir cet article sans vous parler de mon dernier coup de cœur : Aime. Un magazine féminin qui ne ressemble à aucun autre, rempli de belles idées et de beaux projets, parfois encore un peu fouillis mais qu’on a envie de lire, plus que de feuilleter. Moi qui suis allergique à pas mal de presse celle-là m’attire, me distrait, m’instruit, me fait réfléchir, me pose question, me conforte, m’intrigue… bref ne me laisse pas indifférente. J’ai même ragé contre le facteur qui m’a laissé un numéro sous la pluie, grrrrr ! Illisible, quel dommage. Né d’un beau collectif, d’une belle énergie, souhaitons longue vie à ce petit magazine (par la taille seulement, bien pratique) auquel on aurait envie d’apporter sa contribution !

Et pour finir, 2018 a commencé. Je vous souhaite à tous, lecteur régulier, occasionnel ou par hasard, de vivre cette année intensément, d’en savourer chaque minute, chaque rencontre, chaque découverte et de continuer la tête haute. Et un petit cadeau à s’approprier, cette phrase de Nelson Mandela lue dans le bureau d’un client :

« Je ne perds jamais : soit je gagne, soit j’apprends » 

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À propos valeriethierry
Architecte Urbaniste Rédactrice, passionnée de voyages pour les découvertes qu'ils offrent, et nul n'est besoin de parcourir la moitié du globe pour s'évader... Un bon livre, une rencontre, un spectacle... Autant de fenêtre sur le monde à ouvrir !

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